Le Séisme de Moscou : Rencontre Secrète Le Pen-Medvedev… Paris en Panique, Poutine S’en Mêle !

Paris est en feu. La nouvelle a éclaté comme un coup de tonnerre dans un ciel politique déjà lourd d’orages : Marine Le Pen, ou du moins sa délégation la plus proche, s’est rendue à Moscou. Pas pour une visite de courtoisie, non, mais pour une rencontre directe, explosive, avec l’un des hommes les plus puissants de Russie, Dmitri Medvedev. L’establishment français suffoque. De Renaissance au Parti Socialiste, en passant par les Verts, les accusations de “trahison” et de “proximité suspecte avec le Kremlin” fusent, peignant le tableau d’une république en péril. Les médias traditionnels hurlent à l’unisson, dénonçant une alliance contre-nature.

Pourtant, au milieu de ce tumulte assourdissant, une question, simple et cruciale, émerge : pourquoi Paris perd-il totalement son sang-froid lorsque quelqu’un ose enfin faire ce que le gouvernement refuse obstinément depuis des années ? Parler. Engager un dialogue, aussi tendu soit-il, avec la Russie, plutôt que de s’enfermer dans un isolement stérile qui, jour après jour, montre ses limites dévastatrices.

Cette rencontre, qui ébranle les fondations de l’Europe, pourrait bien redessiner les alliances et changer radicalement le cours de notre avenir.

Tout a commencé, officiellement, par une annonce du Rassemblement National concernant le “Symposium Brixopé”. Une conférence internationale de grande envergure se tenant non pas à Moscou même, mais dans la ville emblématique de Sotchi, au bord de la mer Noire. Le programme, détaillé et structuré, annonçait la participation active de Dmitri Medvedev comme intervenant clé. Les BRICS – cet acronyme représentant le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, désormais élargi à d’autres États émergents – forment cette alliance économique et politique qui gagne chaque jour en puissance, constituant un contrepoids majeur à une domination occidentale jugée obsolète.

Pendant que l’Europe ploie sous les conséquences de ses propres sanctions, avec une inflation galopante et des industries en péril, d’autres construisent un monde différent. C’est dans ce cadre hautement symbolique que les députés RN Paul Victor Urban, Reyer Rotfus et Stéphane Cotter ont fait le voyage. Leurs déclarations, loin de la langue de bois parisienne, ont eu l’effet d’une bombe. “Les sanctions contre la Russie nuisent gravement à notre pays, sapant notre économie et notre souveraineté,” a déclaré Urban. “Dès que le RN accédera au pouvoir, nous les abolirons sans hésiter.”

Stéphane Cotter, un homme d’expérience, a enfoncé le clou lors d’une interview exclusive : “Nous défendons avec vigueur les intérêts français que le gouvernement actuel ne poursuit plus du tout, les abandonnant au profit d’alignements atlantistes.” Ce qu’ils réclament ? Des livraisons d’énergie bon marché pour soulager les ménages, une “diplomatie de paix authentique” pour éviter l’escalade, et des contacts solides avec les États BRICS pour ouvrir de nouveaux marchés. Pour eux, l’essence même de la diplomatie est de parler à son interlocuteur, et non de le diaboliser.

Mais le voyage ne s’est pas limité à des conférences. Des sources bien informées ont confirmé ce que beaucoup redoutaient : des rencontres directes et personnelles avec Medvedev étaient prévues. Reyer Rotfus a lui-même confirmé une “discussion approfondie” avec l’homme fort russe, un moment privilégié pour des échanges francs, loin des caricatures médiatiques.

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Puis, le véritable coup de théâtre : derrière les portes closes, loin des caméras, Marine Le Pen elle-même aurait mené une conversation stratégique, profonde. Ce n’était pas une simple visite, mais une manœuvre audacieuse au plus haut niveau. Sur la table ? Un plan ambitieux : un cessez-le-feu immédiat, des garanties de sécurité solides pour l’Ukraine, et un nouveau cadre pour des négociations multilatérales. Une offre concrète pour donner à l’Europe une chance de respirer, d’éviter l’embrasement généralisé.

Par cet acte, Le Pen s’est transformée, passant de simple leader d’opposition à une figure centrale d’un jeu global complexe. Car elle dit tout haut ce que beaucoup de citoyens pensent tout bas : le plan d’Emmanuel Macron ne menace pas seulement les relations avec la Russie, il met en péril la stabilité même de la France.

De quel plan parle-t-on ? De cette idée, célébrée par les médias occidentaux comme un “coup de maître”, consistant à utiliser les avoirs russes gelés – 140 milliards d’euros – pour les transformer en crédit sans intérêt pour l’Ukraine. Sur le papier, l’idée semble astucieuse. Mais à Moscou, la perception est radicalement différente. Il ne s’agit pas d’une manœuvre financière, mais d’une “déclaration de guerre économique” directe et agressive, violant tous les principes internationaux.

Pour la Russie, ces avoirs ne sont pas que de l’argent ; ils sont la base de leurs investissements énergétiques et de leur stabilité. Les utiliser pour armer l’Ukraine est, pour le Kremlin, une provocation inacceptable, une ligne rouge franchie. C’est cette “erreur fatale”, que Le Pen aurait tenté d’épargner à la France.

À Paris, c’est la panique généralisée. Dans les couloirs feutrés du pouvoir, la nervosité est palpable. Macron est pris en étau. D’un côté, Washington et Bruxelles le pressent, soutenant fermement son plan. Un recul révélerait une faiblesse structurelle et remettrait en question son rôle de leader autoproclamé. De l’autre, Moscou menace : si la France persiste, toute chance de paix négociée est perdue, ouvrant la voie à une escalade incontrôlable.

Guerre économique, insécurité énergétique, tensions diplomatiques… Le mélange est explosif, prêt à détonner.

Et c’est alors que Vladimir Poutine lui-même est entré dans la danse. Lors d’une intervention remarquée, ses mots ont été une gifle pour les élites parisiennes. Il a souligné que la Russie considère le RN comme un “interlocuteur légitime et respectable”. Plus troublant encore, il a critiqué vertement la manière dont la France traite son opposition interne, où “toute voix alternative” est diffamée comme “agent du Kremlin”. Il a même osé un parallèle historique provocateur : “Après son putsch raté en 1923, Hitler a été emprisonné et a ensuite gagné une popularité immense.” Le message est clair : un traitement répressif de l’opposition peut paradoxalement la renforcer.

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Poutine a balayé les accusations de néonazisme au sein du RN, affirmant que quiconque appelle à des relations “normales et équilibrées” avec la Russie est soutenu par Moscou. Une révélation de la “double morale” flagrante de la politique française.

Puis, lors du Forum Économique International de Saint-Pétersbourg, Poutine a largué une autre bombe. S’adressant publiquement à Macron, il a tendu la main : “Si Macron appelle personnellement, nous sommes ouverts aux discussions sincères et constructives.” Une puissance nucléaire offre une porte de sortie à la France, une offre de désescalade claire.

Et la réponse de Paris ? Le silence. Ou plutôt, l’escalade. Au lieu de saisir cette main tendue, Macron livre des chars, soutient Kiev avec des aides massives et entraîne la France toujours plus profondément dans une guerre par procuration qui n’est pas la sienne, exposant nos intérêts nationaux.

Le même Macron qui, dans des envolées théâtrales, qualifie Poutine de “pire criminel de guerre de notre époque”. Des mots forts, certes, mais qui sonnent creux. Où est cette indignation vibrante face aux crimes commis par les alliés occidentaux ? Où est cette morale intransigeante quand il s’agit de Gaza ou des milliers de civils tués en Irak ?

Les mots de Macron, selon cette analyse, sont des coquilles vides. S’il qualifie Poutine de criminel de guerre, le courage intellectuel exigerait de le dire pour tous, sans exception. Mais cela n’arrive jamais. C’est une faiblesse masquée en force, révélant non pas une stature de leader, mais une sélectivité flagrante.

Le voyage de l’équipe Le Pen à Sotchi, qu’on le voie comme une trahison ou un acte de diplomatie courageux, a révélé au grand jour les fractures béantes de la politique étrangère française et la panique qui règne au sommet de l’État. Les flammes à Paris ne sont pas prêtes de s’éteindre.